Découvrez le portrait de Mélanie, adhérente relais de la Mutuelle Complémentaire et élève-cadre à l’AP-HP.
Publié le 26 avril 2023
Agent public comme vous !
Quel est votre parcours en tant qu’agent de la fonction publique hospitalière ?
En décembre 2010, après l’obtention de mon diplôme d’infirmière, j’ai intégré l’hôpital gériatrique Charles-Richet à Villiers-le-Bel qui est devenu l’EHPAD Adélaïde-Hautval. Lors de sa restructuration en EHPAD, j’ai intégré le groupe de travail pour réaliser la transition entre ces deux structures. J’étais l’une des plus anciennes et j’avais à cœur de bien accompagner les patients jusqu’à la fermeture de l’hôpital.
Avec le collectif infirmier, on s’est investi jusqu’au bout ; ma cadre de santé m’avait donné des missions de référente, ça m’a plu d’être actrice du projet. C’était aussi pour moi, après la fermeture, l’opportunité d’évoluer professionnellement.
Avec ce projet de devenir cadre de santé, j’ai intégré un autre hôpital de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris où je fais actuellement fonction de cadre de santé. J’exerce en tant qu’élève-cadre de santé, c’est-à-dire que je suis formée au métier grâce au tutorat de ma responsable cadre de santé et je prépare en parallèle le concours d’entrée à l’école des cadres.
Comment êtes-vous devenue adhérente-relais à la Mutuelle Complémentaire ?
Mon père a toujours été adhérent à la Mutuelle Complémentaire, il était aide-soignant à l’AP-HP. Donc je me suis toujours connue adhérente même enfant ! C’était logique pour moi de continuer en étant diplômée. Je voulais reprendre mon adhésion après celle à la mutuelle étudiante. Je croise une collègue sur le quai de la gare et je lui dis que je vais à Paris pour adhérer à la Mutuelle Complémentaire. C’est là qu’elle m’informe que je n’ai pas besoin de me déplacer, qu’il y a un bureau dans notre hôpital ! Je suis donc repartie direction l’hôpital, je ne connaissais pas du tout le système des conseillers de proximité avec un bureau au cœur des hôpitaux. J’ai rencontré la conseillère de proximité, j’ai pu adhérer directement sur mon lieu de travail. Ensuite, j’y envoyais régulièrement mes collègues et c’est comme ça que je suis devenue adhérente-relais de père en fille !
Qu’est-ce qui a plu à votre père à la Mutuelle Complémentaire ?
Mon père aimait ses valeurs : la proximité avec ses adhérents, l’accompagnement personnalisé de toute la famille. Il y est toujours ainsi que mon fils.
En tant qu’adhérente-relais, pourquoi recommandez-vous la Mutuelle Complémentaire à vos collègues ?
Pour la présence des conseillers de proximité au cœur de l’hôpital, à qui on peut parler, ça facilite la vie. Leur accompagnement, qui peut aussi dépasser le soin pur, est très important : en accès direct, ils peuvent nous renseigner avec des conseils sociaux, juridiques, en ressources humaines… Par exemple, au cours de ma grossesse j’ai dû m’arrêter totalement et ma perte de salaire a été limitée grâce à la prise en charge de la mutuelle. Ils ont répondu présent. Leur porte est toujours ouverte pour les adhérents.
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